Crée en Avril 2008, le réseau de lutte contre l’émigration irrégulière du Cameroun ARECC, s’est donné pour mission de contribuer efficacement contre le phénomène de la migration irrégulière et la traite des êtres humains qui causent d’énormes dégâts sociaux dans nos différentes communautés. Son bureau compte aujourd’hui plus de quatre vingt (80) retournés des migrations irrégulières membres réparties sur tout le territoire camerounais et présent dans chacune des 10 régions. Ils interviennent régulièrement dans nos différentes activités de sensibilisation et de productions agricoles pour leurs réinsertions et leurs autonomisations, en zone rurale, péri urbaine, et urbaine. Au niveau qualitatif, l’expérience de l’ARECC s’est renforcée au fil des années et fait largement ses preuves dans plusieurs projets dans les domaines de l’information, l’éducation, l’accompagnement à la réinsertion sociale, pour l’autonomisation des jeunes par la mise en œuvre des multiples projets en faveurs des retournés des migrations. Les cibles privilégiées de nos actions de communication de proximité et de production agricole pour la réinsertion sont la plupart du temps les populations jeunes et les femmes – Mener des activités d’éducation à la migration – Organiser les campagnes de sensibilisation sur les risques et les dangers liés à la migration irrégulière et la traite des êtres humains – Favoriser les formations et la réintégration durable des retournés par des activités génératrices de revenus et d’autonomisation – Mener un plaidoyer pour l’application effective de la loi relative à la lutte contre le trafic illicite des migrants et la traite des êtres humains – Créer des unités de production agricoles, d’élevage, de transformation pour la réinsertion et l’autonomisation des jeunes et des femmes. Mission du réseau -Mener des activités d’éducation à la migration. -Organiser les campagnes de sensibilisation sur les risques et les dangers liés à la migration irrégulière et la traite des êtres humains. -Favoriser les formations et la réintégration durable des retournés par des activités génératrices de revenus et d’autonomisation. -Mener un plaidoyer pour l’application effective de la loi relative à la lutte contre le trafic illicite des migrants et la traite des êtres humains -Créer des unités de production agricoles, d’élevage, de transformation pour la réinsertion et l’autonomisation des jeunes et des femmes.